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First impression versus extended usage : a comparison of product testing methodologies for perfume / I. Shalofsky in INTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE, Vol. 15, N° 2 (04/1993)
[article]
Titre : First impression versus extended usage : a comparison of product testing methodologies for perfume Type de document : texte imprimé Auteurs : I. Shalofsky, Auteur Année de publication : 1993 Article en page(s) : p. 63-75 Note générale : Bibliogr. Langues : Anglais (eng) Tags : Perfume 'Consumer product testing' 'Sniff test' 'In-use Methodology Index. décimale : 668.5 Parfums et cosmétiques Résumé : Dans l'industrie de la parfumerie fine, contrairement aux autres industries de produits de grande consommation, les tests consommateurs systématiques sont rarement utilisés. Les raisons sont diverses ; les traditions propres du parfum tournées vers la mode plutôt que vers le marketing, le refus des parfumeurs de voir leurs créations subir des tests, les délais étonnamment courts pour le développement d'un nouveau produit et, bien sûr, le coût. Lorsqu'un test consommateurs est effectué, il se résume généralement pour ces mêmes raisons, en un test "sniff", ce qui, dans l'industrie du parfum équivaut à un test de "première impression".
Cet article montre que ces tests "sniff" sont encore moins fiables pour le parfum que l'on avait pensé jusqu'à maintenant. Il est fait référence à deux tests consommateurs sur le parfum, un projet qualitatif en France, suivi par un exercice quantitatif effectué en Grande Bretagne. La comparaison entre les tests réalisés à domicile d'une part, et en salle d'autre part, montre que, pour les mêmes parfums, les résultats obtenus peuvent être erronés. Une des conclusions principales est que le parfum est un produit qui devrait être testé sur une longue période et non pas sur une première impression.DOI : 10.1111/j.1467-2494.1993.tb00070.x En ligne : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1467-2494.1993.tb00070.x Format de la ressource électronique : Permalink : https://e-campus.itech.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5120
in INTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE > Vol. 15, N° 2 (04/1993) . - p. 63-75[article]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003947 - Périodique Bibliothèque principale Documentaires Disponible Insight into how skin changes perfume / J. M. Behan in INTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE, Vol. 18, N° 5 (10/1996)
[article]
Titre : Insight into how skin changes perfume Type de document : texte imprimé Auteurs : J. M. Behan, Auteur ; A. P. Macmaster, Auteur ; K. D. Perring, Auteur ; K. M. Tuck, Auteur Année de publication : 1996 Article en page(s) : p. 237-246 Note générale : Bibliogr. Langues : Anglais (eng) Tags : Headspace Skin Perfume Fragrance Olfactory Underarm Microbial Index. décimale : 668.5 Parfums et cosmétiques Résumé : La perception globale par le consommateur de produits personnels tels que les eaux de toilette, les déodorants, le talc et le savon est souvent fortement influencée par la présence et la nature du parfum incorporé dans ces produits, ce qui est vrai aussi pour les caractéristiques olfactives correspondantes de la peau durant et après l'application. Bien que d'importantes recherches aient été menées pour définir la morphologie et les caractéristiques de la peau vivante, on sait relativement peu de choses du comportement physique et biochimique du parfum après déposition sur la peau. Il est largement reconnu que certains parfums peuvent se comporter très différemment sur différentes peaux, mais il y a peu de données précises disponibles pour élucider les mécanismes associés. La rationalisation de ces phénomènes peut demander à la fois la compréhension des interactions physiques et chimiques entre le parfum et la peau. Pour faciliter les études menées dans ce domaine, des techniques basées sur l'analyse headspace et le prélèvement de solvant ont été développées pour suivre les concentrations de parfum sur et au-dessus de la peau. Nous avons effectué une exploration initiale des interactions physiques et chimiques entre peau et parfum, en utilisant ces techniques. Interactions physiques : les différences entre comportements du parfum sur la peau ou sur une surface relativement inerte (carrelage vitrifié) ont été quantifiées, pour ébaucher au moins une idée qualitative de l'importance des interactions physiques entre peau et parfum. Interactions chimiques : nous avons examiné le potentiel de transformation chimique favorisé par la peau pour une large gamme de groupes fonctionnels existant dans les parfums, mais il s'est révélé être faible en conditions "non forcées" (c'est-à-dire sur peau sèche et propre). Toutefois, nous avons trouvé des signes de modifications des ingrédients du parfum sous l'aisselle, suite probablement à des réactions catalysées par des microbes. On pense qu'il pourrait être possible de diriger utilement de telles transformations, par exemple pour dégager des effets olfactifs inhabituels ou pour améliorer la longévité de la senteur. De plus, une transformation sur la peau induite par un produit est faisable, et un cas particulier a été examiné, base SIN la sensibilité au pH de l'acétalisation citrique. DOI : 10.1111/j.1467-2494.1996.tb00154.x En ligne : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1467-2494.1996.tb00154.x Format de la ressource électronique : Permalink : https://e-campus.itech.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5084
in INTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE > Vol. 18, N° 5 (10/1996) . - p. 237-246[article]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003956 - Périodique Bibliothèque principale Documentaires Disponible