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Generation of volatile fatty acids by axillary bacteria / A. G. James in INTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE, Vol. 26, N° 3 (06/2004)
[article]
Titre : Generation of volatile fatty acids by axillary bacteria Type de document : texte imprimé Auteurs : A. G. James, Auteur ; H. Johnston, Auteur ; D. Hyliands, Auteur Année de publication : 2004 Article en page(s) : p. 149-156 Note générale : Bibliogr. Langues : Anglais (eng) Catégories : Acides aminés Les acides aminés (ou aminoacides) sont une classe de composés chimiques possédant deux groupes fonctionnels : à la fois un groupe carboxyle –COOH et un groupe amine –NH2. Parmi ceux-ci, les acides α-aminés se définissent par le fait que leur groupe amine est lié à l'atome de carbone adjacent au groupe acide carboxylique (le carbone α), ce qui leur confère la structure générique H2N–CHR–COOH, où R représente la chaîne latérale, qui identifie l'acide α-aminé.
Les acides α-aminés jouent un rôle fondamental en biochimie comme constituants élémentaires des protéines : ils polymérisent en formant des liaisons peptidiques qui aboutissent à de longues chaînes macromoléculaires appelées peptides.
Acides gras
Aisselles
Bactéries propioniques
Odeur corporelle
StaphylocoquesIndex. décimale : 668.5 Parfums et cosmétiques Résumé : Il est généralement accepté que les acides gras volatils à courtes chaînes (C2–C5) (VFA's) sont entre autres les molécules à l'origine des mauvaises odeurs axillaires. Il est aussi grandement admis que la génération de ces odeurs est attribuable à la biotransformation de sécrétions naturelles sans odeurs en des produits odoriférants volatils par les bactéries axillaires. Cependant, les origines biochimiques des VFAs sur les aisselles sont peu documentées. Dans les études présentées ici, des systèmes de dosage ont été développés afin de rechercher la génération de VFAs de substrats déjà disponibles aux bactéries résidentes des aisselles. Les Propionibacteria et Staphylocoques se sont montrés capables de fermenter le glycérol et l'acide lactique vers les VFA à courtes chaînes C2–C3, les acides acétique et propionique. De plus, les Staphylocoques son capables de convertir les acides aminés aliphatiques tels que la leucine en des courtes chaînes méthylées (C4–C5) hautement odoriférantes comme l'acide iso-valérique, traditionnellement associées à la note acide des mauvaises odeurs axillaires. Cependant, les résultats in vitro des cinétiques indiquent que ces transformations contribuent à des niveaux de VFAs moins élevés que celles des biotransformations des acides gras par un sous groupe du genre Corynebacterium récemment défini, les Corynebacteria (A). Les résultats de ces études fournissent une nouvelle compréhension des origines biochimiques des odeurs axillaires à base de VFAs qui, à leur tour, devraient conduire à de nouveaux systèmes déodorants. DOI : 10.1111/j.1467-2494.2004.00214.x En ligne : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1467-2494.2004.00214.x Format de la ressource électronique : Permalink : https://e-campus.itech.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4711
in INTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE > Vol. 26, N° 3 (06/2004) . - p. 149-156[article]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 004004 - Périodique Bibliothèque principale Documentaires Disponible Histological evaluation of hyperpigmentation on female Filipino axillary skin / A. G. James in INTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE, Vol. 28, N° 4 (08/2006)
[article]
Titre : Histological evaluation of hyperpigmentation on female Filipino axillary skin Type de document : texte imprimé Auteurs : A. G. James, Auteur ; Jennifer E. Pople, Auteur ; W. E. Parish, Auteur ; Alison E. Moore, Auteur ; N. Dunbar, Auteur Année de publication : 2006 Article en page(s) : p. 247-253 Note générale : Bibliogr. Langues : Anglais (eng) Catégories : Aisselles
Peau -- Inflammation
Pigmentation, Troubles de la
Protéines
TyrosinaseIndex. décimale : 668.5 Parfums et cosmétiques Résumé : Les femmes de l'Asie du Sud Est (Thaïlande, Indonésie, Philippines) sont préoccupées par l'apparition de taches sombres se développant sur la peau des aisselles. Or, on sait peu de chose sur les caractéristiques qui différencient les peaux pâles et hyper pigmentées au niveau axillaire dans la population. C'est pourquoi, une étude histologique a été entreprise aux Philippines, afin de définir l’étiologie du noircissement des aisselles, que l'on pense être due à une forme atténuée d'hyperpigmentation postinflammatoire (PIHP ou postinflammatory hyperpigmentation). Des biopsies ont été prélevées dans les zones foncées et claires des régions axillaires de 20 femmes. Sept montraient une hyperpigmentation des aisselles, en se basant sur des mesures instrumentales (Mexameter MX-18), les treize autres n'en montrant pas. Les analyses histologiques et immuno-histochimiques ont été réalisées en utilisant une sélection de colorants et d'anticorps, incluant l'hématoxylinéosine pour l'histopathologie générale, le réactif Masson-Fontana pour la mélanine, l'anti-CD68 pour les monocytes et les macrophages, la technique de Van Gieson pour les fibroses, l'anti-PCNA (proliferating cell nuclear antigen) pour la mitose cellulaire, et les immuno-colorations antityrosinase et anti-TRP1 (tyrosinase-related protein 1) pour des mélanocytes spécifiques. Dans la plupart des cas, les zones de peau sombre des sujets montrant une hyperpigmentation, réagissent plus intensément aux tests Masson-Fontana, antityrosinase et/ou anti-TRP1, ce qui indique une stimulation des mélanocytes et une augmentation de la production de mélanine. De plus, l’épilation apparaît comme un stimulus clé augmentant la pigmentation. Le traumatisme provoqué par l'arrachage des poils, augmente sensiblement le nombre de cellules mononucléaires infiltrées et des macrophages qui ingèrent les mélanosomes s’échappant de l’épiderme altéré. Ceci s'observe d'autant plus dans la peau des sujets hyper pigmentés, avec, par voie de conséquence, une augmentation potentielle de la pigmentation. Cependant l'infiltration cellulaire est principalement localisée près des follicules épilés et n'est pas le signe d'une inflammation diffuse. Le résultat de cette étude corrobore l'hypothèse que le noircissement axillaire est une forme atténuée de PIHP, caractérisée par une augmentation de la mélanine épidermique, consécutive à une stimulation ou une irritation légère de la peau avec l’épilation comme facteur clé. DOI : 10.1111/j.1467-2494.2006.00328.x En ligne : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1467-2494.2006.00328.x Format de la ressource électronique : Permalink : https://e-campus.itech.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26430
in INTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE > Vol. 28, N° 4 (08/2006) . - p. 247-253[article]Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Impact of shaving and anti-perspirant use on the axillary vault / Gerald Patrick Anthony Turner in INTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE, Vol. 29, N° 1 (02/2007)
[article]
Titre : Impact of shaving and anti-perspirant use on the axillary vault Type de document : texte imprimé Auteurs : Gerald Patrick Anthony Turner, Auteur ; A. G. James, Auteur ; S. E. Paterson, Auteur ; V. P. J. Marti, Auteur ; Alison E. Moore, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : p. 31-38 Note générale : Bibliogr. Langues : Anglais (eng) Tags : Anti-perspirant Axilla Inflammation Shaving Stratum corneum Index. décimale : 668.5 Parfums et cosmétiques Résumé : Pour beaucoup de femmes en Europe, en Amérique Latine et du Nord, se raser l'aisselle fait partie intégrale du régime de soins personnels. Pour évaluer l'impact du rasage sur la peau de l'aisselle, une série d'études a été faite dans lesquelles ont été mesurées l'épaisseur épidermale de la voûte (région pileuse) et de la fosse (région non-pileuse) par la tomographie optique (OCT), et la collection du débris du rasage axilliaire, effectuée. L'effet sur l'aisselle de l'iontophorèse d'histamine a aussi été étudiée. De plus, une étude a été faite pour interroger l'impact d'une nouvelle formule anti-transpirante roll-on, sur l'irritation et la perception de la condition de l'aisselle. Les résultats démontrent clairement que l'action de raser l'aisselle enlève non-seulement les poils de l'aisselle, mais aussi de la peau (stratum corneum) (en moyenne 36.1 % du débris de rasage étant de la peau). Les mesures OCT démontrent qu'aux endroits rasés de l'aisselle, l'épaisseur épidermale est plus élevée qu'aux endroits non-rasés. En présence d'histamine, l'inflammation et l'étendue de rougeur sont accentués dans les endroits rasés de l'aisselle par rapport aux endroits non-rasés, mais la rougeur est plus accentuée dans la fosse que dans la voûte. En se basant sur ces résultats, nous supposons que la voûte axilliaire s'est habituée au régime de rasage fréquent, notamment par le développement d'un épiderme épaissi. Cependant, cette adaptation est souvent insuffisante pour protéger l'aisselle entièrement contre l'irritation causée par l'élimination de poils (rasage). Dans cet éventualité, nous avons démontré que l'utilisation d'une nouvelle formule anti-transpirante roll-on contenant du glycérol et de l'huile de tournesol était capable de réduire l'impact de l'irritation causée par le rasage et améliorer la perception de la condition axilliaire. DOI : 10.1111/j.1467-2494.2007.00361.x En ligne : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1467-2494.2007.00361.x Format de la ressource électronique : Permalink : https://e-campus.itech.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4644
in INTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE > Vol. 29, N° 1 (02/2007) . - p. 31-38[article]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 007650 - Périodique Bibliothèque principale Documentaires Disponible