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The COLIPA in vitro UVA method : a standard and reproducible measure of sunscreen UVA protection / Paul J. Matts in INTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE, Vol. 32, N° 1 (02/2010)
[article]
Titre : The COLIPA in vitro UVA method : a standard and reproducible measure of sunscreen UVA protection Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul J. Matts, Auteur ; V. Alard, Auteur ; Michael W. Brown, Auteur ; Louis Ferrero, Auteur ; H. Gers-Barlag, Auteur ; N. Issachar, Auteur ; Dominique Moyal, Auteur ; R. Wolber, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : p. 35-46 Note générale : Bibliogr. Langues : Anglais (eng) Catégories : Produits antisolaires Tags : COLIPA In vitro Protection solaire UVA Index. décimale : 668.5 Parfums et cosmétiques Résumé : Il y a un continuel besoin de mesurer et communiquer de manière fiable la protection contre les UVA apportée par les produits solaires du marché. À cette fin, le groupe du COLIPA (European Cosmetics Trade Association) 'In Vitro Sun Protection Methods' a développé une nouvelle méthode in vitro pour mesurer la protection UVA de façon standardisée et reproductible. La méthode est basée sur de la spectrophotométrie UV sur substrat in vitro et la multiplication des données d'absorbance résultantes par le spectre d'action du marquer in vivo de Pigmentation immédiate Persistante (PPD) afin d'obtenir un facteur de protection UVA (FPUVA) in vitro qui soit corrélé avec la mesure in vivo. Cette méthode a été publiée sous forme de lignes directrices COLIPA, utilisées actuellement en Europe pour les tests et l'étiquetage des produits solaires.
Cet article résume les deux multicentriques d'études, impliquant huit laboratoires d'essais indépendants, pour définir la méthode et la valider. Dans d'étude multicentrique 1, huit laboratoires ont mesuré in vitro la transmission UV sur un total de 24 produits solaires et, à partir des données, une dose unitaire d'UVA (D0 de 1.2 J cm−2) a été définie pour fournir une étape d'irradiation unique qui, en tenant compte de l'éventuelle photostabilité des produits solaires, a donné le résultat le plus proche en accord avec les valeurs de FPUVA in vivo. Dans la série d'étude 2, huit laboratoires ont measuré in vitro la transmission UV sur un total de 13 produits solaires à l'aide de cette étape d'irradiation unique et ont obtenu une très bonne corrélation (r2 = 0,83; pente = 0,84, P < 0,0001) entre les valeurs de FPUVA in vitro et les valeurs in vivo obtenues par la méthode PPD Cette nouvelle méthode, par conséquent, peut être utilisée pour fournir des valeurs in vitro pour décrire l'efficacité des produits solaires face aux UVA en accord avec la recommandation 2006/247/CE de la Commission de l'UE.DOI : 10.1111/j.1468-2494.2009.00542.x En ligne : http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1468-2494.2009.00542.x Format de la ressource électronique : Permalink : https://e-campus.itech.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8542
in INTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE > Vol. 32, N° 1 (02/2010) . - p. 35-46[article]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 011996 - Périodique Bibliothèque principale Documentaires Disponible Contact angle measurement – a reliable supportive method for screening water - resistance of ultraviolet - protecting products in vivo / Ralf Hagens in INTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE, Vol. 29, N° 4 (08/2007)
[article]
Titre : Contact angle measurement – a reliable supportive method for screening water - resistance of ultraviolet - protecting products in vivo Type de document : texte imprimé Auteurs : Ralf Hagens, Auteur ; W. Mei ; K. P. Wittern, Auteur ; H. Wenck, Auteur ; H. Gers-Barlag, Auteur ; V. Schreiner, Auteur ; T. Mann, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : p. 283-291 Note générale : Bibliogr. Langues : Anglais (eng) Tags : COLIPA method Contact angles Cosmetics Sunscreens Water-resistance Index. décimale : 668.5 Parfums et cosmétiques Résumé : La substantivité des formules de protection solaire est affectée par le taux de perte dans l'eau des absorbeurs et réflecteurs de UV. Actuellement leur résistance à l'eau est déterminée selon une méthode normalisée définie par le COLIPA, comportant l'établissement d'une dose érythémale minimale (DEM) spécifiée avant et après une immersion dans l'eau. On peut supposer que plus l'aptitude au mouillage d'une surface de peau traitée est importante, plus le taux de perte des composants protecteurs est élevé. Cette présente publication examine la validité de détermination de cette aptitude au mouillage en tant que mesure de résistance à l'eau des produits de protection solaire. La publication examine la robustesse, la précision et la conformité d'un test d'aptitude au mouillage récemment développé se basant sur la mesure de l'angle de contact (CA) d'une goutte d'eau sessile sur des surfaces de la peau traitées. Des données sur l'angle de contact de 66 formules de protection solaire sont comparées aux résultats correspondants de 81 tests de résistance à l'eau utilisant la méthode COLIPA citée plus haut. Les produits de protection solaire testés selon la méthode CA ont été appliqués sur la peau de l'avant-bras de volontaires à une dose et un temps de séchage déterminés, utilisant une application normalisée et un matériel d'enregistrement. Les angles de contact entre une goutte d'eau sessile et la peau ont été enregistrés par une caméra CCD et soumis à une analyse des contours automatique. En se référant à la méthode étalon-or de COLIPA d' immersion dans l'eau des paramètres exacts de la méthode CA ont pu être ainsi définis. La méthode CA, en utilisant un seuil d'angles de contact adéquat, possède une spécificité ainsi qu'une valeur prédictive de 100 % et peut être considérée comme une méthode de dépistage fiable pour identifier des formules résistantes à l'eau. Les résultats ainsi obtenus ont permis de classifier ces formules affichant des angles de contact supérieurs à 30° dans la catégorie résistant à l'eau sans avoir du appliquer la méthode COLIPA. DOI : 10.1111/j.1467-2494.2007.00380.x En ligne : http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1467-2494.2007.00380.x Format de la ressource électronique : Permalink : https://e-campus.itech.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4622
in INTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE > Vol. 29, N° 4 (08/2007) . - p. 283-291[article]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 008183 - Périodique Bibliothèque principale Documentaires Disponible Consequences for sun protection factors when solar simulator spectra deviate from the spectrum of the sun / B. Uhlmann in INTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE, Vol. 18, N° 1 (02/1996)
[article]
Titre : Consequences for sun protection factors when solar simulator spectra deviate from the spectrum of the sun Type de document : texte imprimé Auteurs : B. Uhlmann, Auteur ; T. Mann, Auteur ; H. Gers-Barlag, Auteur ; D. Alert, Auteur ; G. Sauermann, Auteur Année de publication : 1996 Article en page(s) : p. 13-24 Note générale : Bibliogr. Langues : Anglais (eng) Tags : Sun protection factor Solar simulation Spectral distribution of irradiances Efficacy spectra COLIPA recommendations Index. décimale : 668.5 Parfums et cosmétiques Résumé : L'indice de protection solaire (IPS) de deux produits, l'un ayant un indice attendu de 4 et l'autre de 15, a été étudié a l'aide de deux simulateurs : Simulateur Multiport Solar UV (xénon, Solar Light, Pennsylvania. USA) et Supersun 5000 (halogénure métallique, Mutzhas, Munich, Allemagne). Pour le Multiport, la moyenne des indices obtenus est : IPS 4.8 pour le produit de moindre protection et IPS 19.4 pour le produit hautement protecteur. Les résultats obtenus avec le Supersun son plus bas : IPS 2.6 pour le produit de moindre protection et IPS 7.2 pour le produit hautement protecteur.
Les spectres d'émission relatifs des deux sources ont été mesurés par un spectrophotomètre à fluorescence, en mode bioluminescence. Les spectres d'efficacité ont été calculés et comparés avec le spectre correspondant de la lumière solaire naturelle. Il est apparu évident que la puissance spectrale de la source au xénon est trop forte dans les UVB, entraînant une surestimation de l'IPS, alors que le simulateur Supersun émet trop dans les UVA. entraînant une sous-estimation de l'IPS. Les effets de la chaleur et de la photodégradation des filtres UV sont commentés comme explications possibles de la divergence entre les IPS mesurés expérimentalement.
Nos résultats confirment une publication récente sur les IPS théoriques, calculés avec le spectre émis par une source au xénon et le spectre solaire sous différents angles d'élévation, où les auteurs prouvent que dans la lumière solaire la part des UVA dans les UV totaux est deux fois plus élevée qu'avec une source au xénon. Ceci pourrait expliquer pourquoi les écrans solaires testés selon le protocole de la FDA (source au xénon) ont souvent des IPS plus élevés que ceux testés selon les normes Européennes.DOI : 10.1111/j.1467-2494.1996.tb00132.x En ligne : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1467-2494.1996.tb00132.x Format de la ressource électronique : Permalink : https://e-campus.itech.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5108
in INTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE > Vol. 18, N° 1 (02/1996) . - p. 13-24[article]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 003948 - Périodique Bibliothèque principale Documentaires Disponible 003949 - Périodique Bibliothèque principale Documentaires Disponible