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Titre : |
The computational prediction of toxicological effects in regulatory contexts. Current use and future potential of (Q)SAR tools |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Enrico Mombelli, Auteur ; Stéphanie Ringeissen, Auteur |
Année de publication : |
2009 |
Article en page(s) : |
p. 52-59 |
Note générale : |
Bibliogr. |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Chimie numérique La chimie numérique ou chimie informatique, parfois aussi chimie computationnelle, est une branche de la chimie et/ou de la physico-chimie qui utilise les lois de la chimie théorique exploitées dans des programmes informatiques spécifiques afin de calculer structures et propriétés d'objets chimiques tels que les molécules, les solides, les agrégats atomiques (ou clusters), les surfaces, etc., en appliquant autant que possible ces programmes à des problèmes chimiques réels. La frontière entre la simulation effectuée et système réel est définie par le niveau de précision requis et/ou la complexité des systèmes étudiés et les théories employées lors de la modélisation. Les propriétés recherchées peuvent être la structure (géométrie, relations entre constituants), l'énergie totale, l'énergie d'interaction, les charges, dipôles et moments multipolaires, fréquences vibrationnelles, réactivité ou autres quantités spectroscopiques, sections efficaces pour les collisions, etc. Le domaine le plus représenté de la discipline est le traitement des configurations électroniques des systèmes.
L'expression chimie numérique est parfois également utilisée pour désigner tous les champs scientifiques qui recouvrent à la fois la chimie et l'informatique. Méthodes in silico Substances dangereuses -- Evaluation du risque Toxicologie
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Index. décimale : |
615.9 Toxicologie (poisons et empoisonnements) |
Résumé : |
La modélisation des effets toxicologiques : utilisation actuelle et potentiel futur des outils (Q)SAR Les effets toxicologiques des molécules peuvent être prédits grâce à la modélisation, quantitative ou qualitative, de la relation entre structure chimique et activité biologique. Cette approche de modélisation est connue sous le nom de modélisation (Q)SAR. Depuis le travail pionnier réalisé par Corwin Hansch dans les années 60, le développement et l'utilisation des relations entre structure et activité ont connu un essor croissant ces dernières années, soit pour des applications industrielles, soit pour des applications réglementaires. Cette tendance est de surcroît stimulée par l'implémentation de nouvelles réglementations européennes (REACH, 7e amendement de la Directive européenne sur les cosmétiques) dont le succès passe indéniablement par le déploiement d'une stratégie in silico intégrée. Cet article présente de façon synthétique l'utilisation actuelle et le potentiel futur de ces méthodes pour la prédiction des dangers toxicologiques des substances pour l'homme. |
Permalink : |
https://e-campus.itech.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6787 |
in L'ACTUALITE CHIMIQUE > N° 335 (11/2009) . - p. 52-59
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