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Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la rechercheCircadian rhythms in axillary skin surface pH / J. Burry in INTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE, Vol. 23, N° 4 (08/2001)
Titre : Circadian rhythms in axillary skin surface pH Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Burry, Auteur ; H. F. Coulson, Auteur ; G. Roberts, Auteur Année de publication : 2001 Article en page(s) : p. 207-210 Note générale : bibliogr. Langues : Anglais (eng) Tags : Antiperspirant Eccrine sweat gland Sweat pH Underarm Index. décimale : 668.5 Parfums et cosmétiques Résumé : Le pH de la peau et de la sueur est un paramètre clef affectant l'efficacité des antitranspirants. Le mécanisme d'action de ces derniers, appelé "plug theory" et proposé par Reller et Luedders, fait intervenir la sueur, sécrétion des glandes sudoripares eccrines. A la surface de la peau, les sels antitranspirants – généralement du chlorhydrate d'aluminium ou du zirconium d'aluminium glycine – sont dissouts dans la sueur. La solution en résultant diffuse alors, en fonction du temps, dans les glandes sudoripares où elle est hydrolysée pour former un gel amorphe d'hydroxyde métallique qui bloque le conduit sudorifère à une profondeur de 20 à 100 µm. Il est par conséquent important de comprendre s'il existe des variations diurnes de pH cutané au niveau axillaire, celles-ci pouvant fortement influencer le moment de la journée au cours duquel un antitranspirant doit être appliqué pour assurer une protection maximale.
Des études cliniques contrôlées ont démontré une baisse significative du pH cutané, au niveau de l'aisselle, entre le matin (pH = 5,87 ± 0,23) et le soir (pH = 5,49 ± 0,23). Cette variation diurne suggère donc que l'efficacité des antitranspirants serait optimale lorsqu'iles sont appliqués le matin. De plus, ces données impliquent qu'il existe un rythme circadien dans la fonction barrière de la peau, indiquant que la chronopharmacologie, science des rythmes d'administration des médicaments, pourrait être utilisée pour optimiser le traitement de l'hyperhidrose axillaire par application topique d'actifs anticholinergiques.DOI : 10.1046/j.1467-2494.2001.00092.x En ligne : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1046/j.1467-2494.2001.00092.x Format de la ressource électronique : Permalink : https://e-campus.itech.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4850
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Titre : Erroneous gender differences in axillary skin surface/sweat pH Type de document : texte imprimé Auteurs : J. S. Burry, Auteur ; A. K. Mills, Auteur ; G. Roberts, Auteur ; Anthony Vincent Rawlings, Auteur ; S. J. Melling, Auteur ; V. Marti, Auteur ; I. Esser, Auteur ; H. F. Coulson, Auteur Année de publication : 2001 Article en page(s) : p. 99-107 Note générale : Bibliogr. Langues : Anglais (eng) Tags : Antiperspirant Axilla Eccrine gland Skin pH Sweat Thermoregulation Index. décimale : 668.5 Parfums et cosmétiques Résumé : La détermination précise du pH de la sueur au niveau des aisselles est de première importance dans l'industrie des antitranspirants. Le pH de la sueur est un paramètre clef affectant l'efficacité des produits antitranspirants ; ceux-ci agissent par diffusion d'une solution d'actifs antitranspirants dans les glandes sudoripares où ils sont hydrolysés et forment un gel amorphe d'hydroxyde métallique limitant ainsi le flux de transpiration. Une comparaison des données publiées dans la littérature sur le pH de la peau et de la sueur chez les hommes et les femmes, révèle que bien que des différences hommes/femmes aient été observées de façon consistante sur l'avant-bras, la différenciation par sexe est moins marquée pour les autres parties du corps. Les études sur le dos et les régions infra-mammaires montrent des différences significatives du pH de la peau ; en revanche, celles sur le front, les joues, le cou et la région inguinale ne font apparaitre aucune différence. En ce qui concerne les aisselles, sur quatre études publiées, trois ne montrent aucune différence significative de pH de la sueur et la quatrième indique un pH de 7,0 pour les femmes et de 5,6 pour les hommes, soit une concentration en ions H+ 10 fois plus élevée chez les hommes.
Cet article décrit une série d'études méticuleusement controllées visant à évaluer les différences hommes/femmes du pH de la sueur et de la peau en fonction des conditions de temperature, d'humidité et de temps d'exposition. Les résultats démontrent l'importance du contrôle de la durée et du site de mesure et plus particuliérement la nécessité de pré-équilibrer les échantillons à 40 mmHg de dioxide de carbone (équivalent à la tension artérielle de CO2 (pCO2)) avant la mesure de pH. Lorsque ces paramètres sont contrôlés, aucune différence de pH n'est observée entre hommes et femmes au niveau de l'aisselle, ni pour la sueur, ni à la surface de la peau; cependant, des différences importantes sont observées entre la voûte (région pileuse) et la fosse (région non pileuse).DOI : 10.1046/j.1467-2494.2001.00085.x En ligne : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1046/j.1467-2494.2001.00085.x Format de la ressource électronique : Permalink : https://e-campus.itech.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4885
in INTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE > Vol. 23, N° 2 (04/2001) . - p. 99-107[article]Réservation
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Titre : The non-linear viscoelastic behaviour of human hair at moderate extensions Type de document : texte imprimé Auteurs : H. A. Barnes, Auteur ; G. Roberts, Auteur Année de publication : 2000 Article en page(s) : p. 259-264 Note générale : Bibliogr. Langues : Anglais (eng) Tags : Human hair Non-linear model Stress relaxation Index. décimale : 668.5 Parfums et cosmétiques Résumé : Nous présentons ici les résultats d'expériences réalisées afin d'étudier la relaxation de la contrainte appliquée sur un cheveu humain légèrement étiré. Les résultats obtenus montrent que le cheveu humain est viscoélastique, et que lorsqu'il est étiré rapidement, et de façon modérée (0,5–6,5 %), la force nécessaire pour le maintenir étiré diminue de moitié en 15 heures. La relaxation dépend également du degré d'extension, de sorte que les données isochrones (à temps constant) ne suivent pas la loi de Hooke. Nous avons démontré que le comportement isochrone contrainte/cisaillement dévie du comportement linéaire lorsque le cheveu est étiré de 1 % environ et que le module décroît ensuite progressivement en suivant une loi de puissance avec le cisaillement. DOI : 10.1046/j.1467-2494.2000.00008.x En ligne : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1046/j.1467-2494.2000.00008.x Format de la ressource électronique : Permalink : https://e-campus.itech.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4936
in INTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE > Vol. 22, N° 4 (08/2000) . - p. 259-264[article]Réservation
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