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Titre : |
Revêtements nanocomposites pour les verres ophtalmiques |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
John Biteau, Auteur ; J. Leclaire, Auteur ; Claudine Biver, Auteur |
Année de publication : |
2004 |
Article en page(s) : |
p. 7-10 |
Note générale : |
Bibliogr. |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Elastomères Matériaux hybrides Résistance à l'abrasion Revêtements protecteurs Verre optique
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Index. décimale : |
668.9 Polymères |
Résumé : |
Le verre ophtalmique est un système composite assez. Comme le montre la figure 1, il peut en effet comporter un grand nombre de couches (jusqu'à 19 !) de nature chimique et de propriétés mécaniques très différentes, allant de l'élastomère au minéral. Il est principalement constitué d'un substrat organique de quelques millimètres d'épaisseur. Celui-ci est généralement revêtu d'une couche élastomère apportant adhérence et résistance aux chocs et d'un revêtement nanocomposite hybride organique-inorganique de quelques microns assurant la résistance à la rayure. D'autres fonctions peuvent être également ajoutées telles qu'un empilement antireflet de quelques centaines de nanomètres composé de couches minérales et un revêtement hydrophobe nanométrique apportant les propriétés antisalissures.
Si la mise au point de chacun de ces revêtements résulte d'une démarche scientifique, d'une optimisation et d'un savoir faire spécifiques, nous nous intéressons ici plus particulièrement au cas des revêtements hybrides organiques-inorganiques nanocomposites apportant la fonction anti-rayure. La multitude de couches constituant le verre ophtalmique ainsi que le contraste de propriétés mécaniques suggèrent dès à présent le rôle primordial des interfaces dans le comportement mécanique final du système, en plus des propriétés intrinsèques du revêtement nanocomposite. |
Permalink : |
https://e-campus.itech.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6428 |
in ACTUALITES G.F.P. > N° 98 (06/2004) . - p. 7-10
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