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RHEOLOGIE / Groupe Français de Rhéologie . Vol. 10Mention de date : 11/2006Paru le : 15/11/2006 |
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Ajouter le résultat dans votre panierRhéologie et biréfringence d’écoulement, du macroscopique au microscopique / J. P. Decruppe in RHEOLOGIE, Vol. 10 (11/2006)
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Titre : Rhéologie et biréfringence d’écoulement, du macroscopique au microscopique Type de document : texte imprimé Auteurs : J. P. Decruppe, Auteur Année de publication : 2006 Article en page(s) : p. 1-12 Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Catégories : Biréfringence La biréfringence est la propriété physique d'un matériau dans lequel la lumière se propage de façon anisotrope. Dans un milieu biréfringent, l'indice de réfraction n'est pas unique, il dépend de la direction de polarisation de l'onde lumineuse. (Wikipedia)
RhéologieTags : 'Biréfringence écoulement' Rhéologie 'Ecoulements hétérogènes' Rhéo-épaississement Index. décimale : 532.05 Mécanique des fluides et des liquides - Dynamique (cinétique et cinématique) Résumé : La biréfringence d’écoulement est une technique expérimentale qui peut être associée avec profit à l’étude du comportement rhéologique de nombreux fluides complexes. Elle apparaît dans certains fluides mis en mouvement sous l’action de contraintes ; le liquide devient alors équivalent à un cristal anisotrope. Les grandeurs optiques caractéristiques d’un fluide biréfringent sont l’angle d’extinction et l’intensité de la biréfringence, dont on décrira une technique de mesure originale qui fait appel à la diffusion Rayleigh. Les liens entre optique et rhéologie vont apparaître dans la relation de Lodge et dans la loi tensio-optique ; cette dernière, lorsqu’elle s’applique, permet d’atteindre certaines caractéristiques microscopiques (anisotropie de polarisabilité, longueur de persistance) des particules en solutions. Enfin, quelques exemples choisis dans les fluides micellaires illustreront ce travail et apporteront une confirmation de l’intérêt des études optiques dans le domaine de la rhéo-physique des fluides complexes. En ligne : http://www.legfr.fr/larevue/index.php?Page=article&Vol=0010&NumArticle=0 Permalink : https://e-campus.itech.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=17542
in RHEOLOGIE > Vol. 10 (11/2006) . - p. 1-12[article]Réservation
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Titre : Glissement et rhéomètrie Type de document : texte imprimé Auteurs : N. El Kissi, Auteur ; S. Nigen, Auteur ; F. Pignon, Auteur Année de publication : 2006 Article en page(s) : p. 13-39 Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Index. décimale : 532.05 Mécanique des fluides et des liquides - Dynamique (cinétique et cinématique) Résumé : Pour caractériser les propriétés rhéologiques des matériaux fluides, l’un des moyens qu’il faut pouvoir mettre en Å“uvre est la rhéométrie. Un rhéomètre permet de placer le fluide dans un état d’écoulement contrôlé et, dès lors qu’un certain nombre de précautions sont prises, d’accéder aux grandeurs physiques pertinentes qui permettent de décrire le comportement du matériau dans la gamme de sollicitation intéressante pour les propriétés de mise en forme du fluide, les propriétés d’usage, les propriétés en fin de vie... Les rhéomètres rotatifs et capillaires sont les plus connus, les plus utilisés et les mieux maîtrisés. Ils permettent de caractériser le comportement du fluide en écoulement de cisaillement et de déterminer les fonctions viscosimétriques, viscosité et première différence de contraintes normales notamment. Cependant, plusieurs problèmes peuvent se poser dans la réalisation ou l’exploitation d’essais avec ce type d’appareil, limitant ainsi la gamme possible de caractérisation des fluides. On peut citer, de manière non exhaustive, la dégradation mécanique ou chimique de l’échantillon, l’apparition de phénomènes instables qui introduisent des variations de débit, le glissement, la localisation de la déformation... Dans tous ces cas, les formules qui sont à la base des principes de mesures de ces deux types de rhéomètres ne s’appliquent plus et les essais doivent être exploités différemment. Parmi ces phénomènes, le glissement et la fracturation méritent une attention toute particulière. En effet, ils se manifestent fréquemment, dans des configurations d'écoulement diverses, et pour des fluides dont le comportement peut être viscoélastique, visco-plastique, voire thixotrope.
Dans cet article, après avoir brièvement rappelé le principe de fonctionnement de ces appareils, nous détaillerons les précautions à prendre de façon à s’affranchir du phénomène de glissement, un des artefacts susceptibles de fausser la mesure rhéométrique. On apportera des éléments de réponse à des questions telles que : comment identifier le glissement sur les courbes viscosimétriques, comment l'éliminer ou comment en corriger les effets et interpréter tout de même les mesures de rhéométrie. L’objectif est donc de proposer les outils nécessaires à une analyse pertinente des essais de rhéométrie en présence de glissement. Ces outils seront testés et de nombreux exemples, issus de l’expérience des auteurs, permettront de les valider mais également d’en illustrer les défaillances. Pour cela, les concepts à la base de l'interprétation des essais de rhéométrie de cisaillement seront brièvement rappelés dans le paragraphe 2. La compréhension des concepts physiques sous-jacents au glissement sera abordée, de manière brève, dans le paragraphe 3. Le but est d'offrir dans cet article une vision globale sur ces sujets, sans pour autant proposer une description exhaustive des avancées de la recherche internationale très riche sur le sujet, qui dépasse le cadre de cet article. Le paragraphe 4 proposera une revue des techniques les plus courantes, permettant de détecter et éventuellement d'éviter le déclenchement du glissement. Dans le paragraphe 5, des techniques pour quantifier le glissement, voire le prendre en compte dans l'interprétation des mesures de rhéométrie, seront proposées et leur validité sera testée sur des exemples concrets. Enfin, le paragraphe 6 conclura cet article.En ligne : http://www.legfr.fr/larevue/index.php?Page=article&Vol=0010&NumArticle=1 Permalink : https://e-campus.itech.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=17543
in RHEOLOGIE > Vol. 10 (11/2006) . - p. 13-39[article]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 005993 - Périodique Bibliothèque principale Documentaires Disponible Comportement rhéologique de type "gel" dans les mélanges de polymères incompatibles / F. Prochazka in RHEOLOGIE, Vol. 10 (11/2006)
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Titre : Comportement rhéologique de type "gel" dans les mélanges de polymères incompatibles Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Prochazka, Auteur ; D. Barbier, Auteur ; M. Castro, Auteur ; C. Celle, Auteur Année de publication : 2006 Article en page(s) : p. 49-57 Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Catégories : Alliages polymères
Polyéthylène
Polyéthylène glycol
Polyfluorure de vinylidène
Polystyrène
RhéologieTags : Co-continuité 'Mélange polymères' 'Point gel' 'Structure auto-similaire' Index. décimale : 668.9 Polymères Résumé : Cette étude montre l’existence d’une morphologie particulière aux bornes du domaine de co-continuité dans
les mélanges de polymères. En analysant les données rhéologiques en mode dynamique à basse fréquence de différents systèmes POE/PS, POE/PVDF et PS/PE, un comportement caractéristique de type "loi de puissance" a été mis en évidence. Ce comportement est la signature d’une structure de nature auto-similaire. Selon le rapport de viscosité des deux polymères composant le mélange, une ou deux compositions présentent cette caractéristique d’auto-similarité.En ligne : http://www.legfr.fr/larevue/index.php?Page=article&Vol=0010&NumArticle=3 Permalink : https://e-campus.itech.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=17544
in RHEOLOGIE > Vol. 10 (11/2006) . - p. 49-57[article]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 005993 - Périodique Bibliothèque principale Documentaires Disponible Sur une méthode originale d’identification des lois de comportement hyper-élastique des élastomères in RHEOLOGIE, Vol. 10 (11/2006)
[article]
Titre : Sur une méthode originale d’identification des lois de comportement hyper-élastique des élastomères Type de document : texte imprimé Année de publication : 2006 Article en page(s) : p. 56-64 Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Catégories : Elasticité
Elastomères
RhéologieTags : Elastomères Hyper-élasticité 'Grandes déformations' 'Essais mécaniques' Identification Optimisation 'Méthode Monte-Carlo' 'Analyse images' Index. décimale : 668.9 Polymères Résumé : Les lois de comportement hyper-élastique dérivent d'un potentiel élastique W. Il existe deux approches pour
la formulation de ce potentiel. La première est phénoménologique, en supposant que le matériau est isotrope, la
fonctionnelle W dépend de trois invariants I1(C), I2(C) et I3(C) du tenseur de Green-Cauchy droit. La deuxième approche est macromoléculaire : basée sur le concept de modèles de réseaux. Le potentiel dépend alors du premier invariant I1(C). Dans les deux cas, le défi est de construire des lois de comportement tridimensionnelles pouvant prédire la réponse mécanique du matériau pour tous les modes de déformation. Afin d’identifier les paramètres du matériau (en choisissant un potentiel phénoménologique), Diani et Rey [4] ont montré (aux grandes déformations) qu’on peut limiter la base de données expérimentale à deux essais (essais de traction : uniaxiale et équibiaxiale). Cependant, la mise en œuvre des essais de traction équibiaxiale n’est pas évidente, nécessitant des montages spécifiques. L’objectif de ce travail est de montrer qu’il est possible d’identifier les paramètres à partir d’un essai de compression, équivalent à un essai de traction équibiaxiale. On montre aussi que la méthode d’optimisation influe sur les valeurs numériques des paramètres du matériau et, par conséquent, la finesse du lissage des courbes expérimentales est améliorée. Nous avons utilisé le modèle de Gent [1] tenant compte de l’extensibilité maximale des chaînes. Ce modèle original s’apparente au modèle à huit sous-chaînes de Arruda et Boyce [3] et ne nécessite l’identification que de deux paramètres matériau (μ et JM).En ligne : http://www.legfr.fr/larevue/index.php?Page=article&Vol=0010&NumArticle=4 Permalink : https://e-campus.itech.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=17545
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