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Isolation of a bacterial enzyme releasing axillary malodor and its use as a screening target for novel deodorant formulations / A. Natsch in INTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE, Vol. 27, N° 2 (04/2005)
[article]
Titre : Isolation of a bacterial enzyme releasing axillary malodor and its use as a screening target for novel deodorant formulations Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Natsch, Auteur ; J. Schmid, Auteur ; P. Gygax, Auteur ; H. Gfeller, Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : p. 115-122 Note générale : Bibliogr. Langues : Anglais (eng) Tags : Aminoacylase Axillary odor Deodorant Glutamine-conjugates Index. décimale : 668.5 Parfums et cosmétiques Résumé : Il est connu depuis 50 ans que l'odeur de la sueur de l'aisselle est formée par l'action des Corynébactéries sur des sécrétions corporelles inodores, mais on ignorait la nature des enzymes bactériennes responsables de ce phénomène. Dans des échantillons de sécrétions de l'aisselle hydrolysés, nous avons identifié l'acide 3-méthyl-2-héxenoïque, connu comme constituant déterminant de l'odeur désagréable de la sueur, ainsi qu' un nouveau composé chimiquement proche: l'acide 3-hydroxy-3-méthylhéxanoïque. Les précurseurs naturels inodores de ces deux acides ont été isolés et purifiés à partir d'échantillons frais, non hydrolysès, de sécrétion du creux de l'aisselle. Nous avons pu démontrer que dans la sécrétion de l'aisselle fraîche les deux acides malodorants sont liés de manière covalente à un résidu de glutamine. Seul les Corynébactéries, isolés du creux de l'aisselle, ont été trouvés capables de former les deux acides à partir de leurs précurseurs in vitro alors que les Staphylocoques ne le pouvaient pas. Nous avons ensuite purifié une aminoacylase dépendente de Zn2+ de Corynébacterium striatum Ax20 qui catalyse ce clivage. Le gène correspondant agaA a été cloné et exprimé de manière hétérologue dans Escherichia Coli. Ces résultats biochimiques ont mené notre recherche à de nouvelles stratégies pour contrôler l'odeur corporelle provenant de la sueur de l'aisselle:
(a) Avec une nouvelle méthode de test utilisant les Corynébactéries isolées et leur activité enzymatique, nous avons testé des ingrédients cosmétiques existants pour leur effet direct sur le contrôle des odeurs désagréables.
(b) La structure du précurseur naturel pour l'odeur de la sueur de l'aisselle a été modifiée en remplaçant l'acide malodorant par des molécules de parfumerie. Nos avons démontré que ces nouveaux précurseurs sont décomposés par la même aminoacylase.DOI : 10.1111/j.1467-2494.2004.00255.x En ligne : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1467-2494.2004.00255.x Format de la ressource électronique : Permalink : https://e-campus.itech.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4430
in INTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE > Vol. 27, N° 2 (04/2005) . - p. 115-122[article]Réservation
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