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Titre : |
Long-term durability of hydrophobic treatment on concrete |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
M. Raupach, Auteur ; L. Wolff, Auteur |
Année de publication : |
2005 |
Article en page(s) : |
p. 127-133 |
Note générale : |
Bibliogr. |
Langues : |
Anglais (eng) |
Catégories : |
Durée de vie (Ingénierie) Hydrophobie Matériaux cimentaires -- Revêtements protecteurs Silanes SiloxanesLes siloxanes sont une classe de composés du silicium dont la formule empirique est R2SiO, où R est un groupe radical qui peut être organique. Des exemples représentatifs sont [SiO(CH3)2]n (diméthylsiloxane) et [SiO(C6H5)2]n (diphénylsiloxane), où n est typiquement supérieur à 4. Ces composés peuvent être des hybrides organiques et inorganiques. Les chaînes organiques confèrent au composé des propriétés hydrophobes alors que la chaîne principale -Si-O-Si-O- est purement inorganique.
Le mot siloxane est dérivé de Silicium, Oxygène et alkane.
Des siloxanes peuvent être trouvés dans des produits tels que des cosmétiques, des déodorants, des enduits hydrophobes pour pare-brise, des peintures et certains savons.
Les siloxanes polymérisés (polysiloxanes) sont appelés silicones1,2.
Le siloxane est massivement utilisé dans l'industrie cosmétique (rouges à lèvre, conditionneurs et shampooings, déodorants, etc.).
Une application récente du Siloxane D5 (2001) a été trouvée dans le nettoyage à sec des textiles en remplacement du perchloroéthylène. Ce procédé est très répandu aux États-Unis et au Royaume-Uni. Il devient de plus en plus courant en Europe continentale dont la France, afin de promouvoir l'usage de procédés écologiques et respectueux de la santé humaine.
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Index. décimale : |
667.9 Revêtements et enduits |
Résumé : |
Concrete may be attacked by different aggressive substances, initiating damaging mechanisms both at the concrete or at the reinforcement. Concrete is mainly attacked by saline solutions, sulphates, freeze-thaw ionic alteration or carbon dioxide. If the carbonation front reaches the reinforcement or if chloride penetrates into the concrete, corrosion of the reinforcement may be initiated. Most of the aggressive substances which are transported into the concrete dissolve in water, mainly through the capillary pores. Also, the corrosion processes are considerably dependent on the moisture content of the concrete.
Supplementary hydrophobic treatments of the concrete surface can be durable and provide a potent method for lowering the moisture content of the concrete, thereby improving its durability by inhibiting the migration of aggressive substances as well as preventing the corrosion process.
At the Institute for Building Materials Research of Aachen University (IBAC), comparative tests have been carried out on the efficiency and long-term durability of different hydrophobic agents on different types of concrete. The applied hydrophobic treatments consist of different chemical compositions, different consistencies and different active solvent contents.
The effectiveness and durability of the hydrophobic treatment was monitored using a multi-ring-electrode sensor that indicates the variation of humidity of the concrete at different depths by measurement of its electrolytic resistance. |
Note de contenu : |
- HYDROPHOBIC TREATMENT OF CONCRETE
- TEST METHODS : Measurement of the electrolytic resistance of the concrete
- MONITORING THE EFFICIENCY OF HYDROPHOBIC TREATMENT : Presentation of the research project - Test matrix - Hydrophobic agents - Artificial weathering in the VENUS environmental simulation plant - Natural weathering outside the institute
- RESULTS : Measurement of the penetration depth - Results of the artificial and natural weathering - Efficiency of the hydrophobic treatment |
DOI : |
10.1007/BF02699544 |
En ligne : |
https://link.springer.com/content/pdf/10.1007/BF02699544.pdf |
Format de la ressource électronique : |
Pdf |
Permalink : |
https://e-campus.itech.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=5426 |
in SURFACE COATINGS INTERNATIONAL. PART B : COATINGS TRANSACTIONS > Vol. 88, B2 (05/2005) . - p. 127-133
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