Titre : |
Detection and quantification of apocrine secreted odor-binding protein on intact human axillary skin |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
R. B. Jacoby, Auteur ; J. C. Brahms, Auteur ; S. A. Ansari, Auteur ; J. Mattai, Auteur |
Année de publication : |
2004 |
Article en page(s) : |
p. 37-46 |
Note générale : |
Bibliogr. |
Langues : |
Anglais (eng) |
Tags : |
Asian American Bacteria Polyacrylamide gel electrophoresis Skin physiology Sweat glands Western blotting |
Index. décimale : |
668.5 Parfums et cosmétiques |
Résumé : |
Un mécanisme proposé de formation axillaire de malodor est l’interaction bactérienne avec les protéines sécrétées de porteur d'odeur menant au dégagement des molécules volatiles d'odeur. Une molécule volatile primaire d'odeur, l'acide 3-methyl-2-hexenoic, est sécrétée dans le lumen glandulaire d'apocrine lié à deux protéines de porteur connues sous le nom de protéines Odeur-Liantes de sécrétion d'Apocrine (ASOB1 et ASOB2). L'objectif de cette étude a été de développer une méthode biologique pour détecter et mesurer l’ASOB2 in vitro et sur la peau axillaire intacte. Les protéines actuelles dans la sécrétion pure d'apocrine ont été séparées par l'intermédiaire de l'électrophorèse de gel de SDS–POLYACRYLAMIDE, électro-épongées, et mises à réagir avec des anticorps pour détecter l’ASOB2. Les résultats de cette étude démontrent que l’ASOB2 partage immunologiquement les épitopes homologues avec la protéine humaine de sérum, l'apolipoprotéine-D (l'apo-D). Des sécrétions axillaires et la flore microbienne de ligne de base ont été rassemblées en deux groupes de membres du jury pendant 6 heures après l'averse avec du savon de non antibactérien. Les extraits ont été fractionnés par du SDS–PAGE. L’ASOB2 a été détecté sélectivement par la tache de Western en utilisant un anticorps souris-antihumain monoclonal d'apolipoprotéine-D et mesuré sur la peau axillaire humaine en utilisant les méthodes présentées. La concentration d’ASOB2 axillaire a changé parmi des individus (<0.1–4.1 µg cm-2) avec des différences significatives (P < 0.05, anova) vues entre ceux de la descente chinoise et de la descente non-Chinoise. Les membres du jury de l'ascendance chinoise n'ont pas montré des niveaux sensiblement plus bas de flore microbienne de ligne de base une fois comparés aux membres du jury non-Chinois. |
DOI : |
/10.1111/j.0142-5463.2003.00203.x |
En ligne : |
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.0142-5463.2003.00203.x |
Format de la ressource électronique : |
Pdf |
Permalink : |
https://e-campus.itech.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4722 |
in INTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE > Vol. 26, N° 1 (02/2004) . - p. 37-46