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Auteur Jean Ducasse-Lapeyrusse
Commentaire :
Université de Sherbrooke - Québec - Canada
ENS Mines - Douai - France
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Biocicatrisation : application à la réparation de mortiers âgés / Jean Ducasse-Lapeyrusse in MATERIAUX & TECHNIQUES, Vol. 103, N° 2 (2015)
[article]
Titre : Biocicatrisation : application à la réparation de mortiers âgés Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Ducasse-Lapeyrusse, Auteur ; Christine Lors, Auteur ; Richard Gagné, Auteur ; Denis Damidot, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 7 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Catégories : Bactéries
Biocicatrisation
Lactate de calcium
MortierIndex. décimale : 620.13 Matériaux de construction : pierre, ciment, béton, liants de Résumé : La biocicatrisation constitue un moyen prometteur pour la réparation des grosses micro-fissures (de l’ordre de 250 μm). Ce système de réparation repose sur la capacité des bactéries à générer du carbonate de calcium, CaCO3, afin de colmater les fissures. Le phénomène de biocicatrisation est complexe, faisant intervenir l’activité bactérienne, le milieu de culture nécessaire à la croissance bactérienne, la composition du matériau et les conditions environnementales (température et humidité). L’objectif de cette étude vise à élaborer un procédé de biocicatrisation tout en permettant de comprendre l’influence spécifique des différents paramètres d’influence. Elle nécessite dans un premier temps de mettre au point un milieu conduisant à une croissance optimale de la souche bactérienne étudiée, Bacillus pseudofirmus, et générant une quantité significative de carbonate de calcium. La suspension bactérienne obtenue est ensuite imprégnée dans des fissures carbonatées de l’ordre de 250 μm, créées dans des éprouvettes de mortier. L’efficacité de la biocicatrisation est estimée en mesurant l’évolution des ouvertures des fissures par des mesures de débit d’air. Les résultats obtenus ont montré que le milieu à base de lactate de calcium, de nitrate de calcium et d’extrait de levure en présence de Bacillus pseudofirmus confère au mortier une capacité de cicatrisation accrue pour des fissures de l’ordre de 250 μm, que les phénomènes abiotiques ne peuvent pas colmater. En effet, le taux apparent de cicatrisation est de plus de 70 % résultant de la formation d’une couche de cicatrisation de plus de 74 μm constituée de calcite mêlée à un biofilm. Note de contenu : - MATERIEL ET METHODES : Eprouvettes de mortiers - Mesure de débit d'air et ouverture apparente des fissures - Essais de croissance de la souche bactérienne étudiée - Essais de biocicatrisation sur éprouvettes de mortier fissurées
- RESULTATS : Essais de croissance bactérienne - Essais de biocicatrisation sur éprouvettes de mortier fissuréesRéférence de l'article : 207 DOI : http://dx.doi.org/10.1051/mattech/2015010 En ligne : http://www.mattech-journal.org/articles/mattech/pdf/2015/02/mt150013.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://e-campus.itech.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=24195
in MATERIAUX & TECHNIQUES > Vol. 103, N° 2 (2015) . - 7 p.[article]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 17246 - Périodique Bibliothèque principale Documentaires Disponible Traitement de mortiers fissurés par biocicatrisation : vers une évaluation quantitative de l'efficacité bactérienne / Jean Ducasse-Lapeyrusse in MATERIAUX & TECHNIQUES, Vol. 102, N° 1 (2014)
[article]
Titre : Traitement de mortiers fissurés par biocicatrisation : vers une évaluation quantitative de l'efficacité bactérienne Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Ducasse-Lapeyrusse, Auteur ; Richard Gagné, Auteur ; Christine Lors, Auteur ; Denis Damidot, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : 11 p. Note générale : Bibliogr. Langues : Français (fre) Catégories : Bactéries
Lactate de calcium
Matériaux autoréparants
Matériaux intelligents
MortierIndex. décimale : 620.13 Matériaux de construction : pierre, ciment, béton, liants de Résumé : Pour accélérer le processus naturel d’autocicatrisation et pour parvenir à cicatriser complètement des fissures larges (>150 μm), la biocicatrisation semble être l’un des moyens les plus prometteurs. L’objectif principal de cette recherche est de mieux comprendre les mécanismes de la biocicatrisation des matériaux cimentaires pour pouvoir accélérer la cinétique et maximiser l’efficacité du colmatage des fissures relativement importantes. L’approche de biocicatrisation étudiée consiste à imprégner les fissures à l’aide d’un milieu de culture (milieu précurseur) inoculé avec une souche bactérienne spécifique. L’objectif de ce travail est d’étudier la cicatrisation de micro-fissures bien définies sur des mortiers soumis à des mécanismes de cicatrisation de plus en plus complexes. Dans un premier temps, les mortiers fissurés sont soumis à l’autocicatrisation naturelle, puis à une solution de précurseur (lactate de calcium) et finalement à un milieu de culture renfermant une souche bactérienne. Avant cette dernière étape, une part importante de l’étude vise à évaluer la cinétique de croissance de la souche bactérienne utilisée : Bacillus pseudofirmus. Des éprouvettes de mortier (E/C = 0,485) ont été soumises à une fissuration contrôlée à l’aide d’un coeur expansif. La cinétique de cicatrisation est évaluée à l’aide d’une cellule de perméabilité à l’air qui permet de mesurer l’évolution, au cours du temps (1, 3 et 6 mois de conservation à 23 °C et 100 % H.R.) de l’ouverture apparente des fissures. La cicatrisation est globalement plus rapide et plus complète lorsque les fissures sont imprégnées d’une solution de lactate de calcium immédiatement après la fissuration. C’est principalement la cicatrisation des grosses fissures (>150 μm) qui est nettement meilleure en présence du précurseur. Toutes les surfaces internes des fissures imprégnées de lactate de calcium sont entièrement recouvertes d’ettringite. B. pseudofirmus est capable de se développer dans des milieux ayant un pH compris entre 7,5 et 10,6. Cette gamme de pH correspond au pH d’un béton de surface carbonaté/lixivié mais aussi du béton d’une fissure qui a commencé à être autocicatrisée. Cette souche est capable d’utiliser le lactate de calcium comme source carbonée, mais nécessite la présence d’un autre substrat nutritif comme l’extrait de levure ou le milieu Nutrient Broth. Ces résultats constituent les bases nécessaires au développement d’une méthodologie de biocicatrisation de mortiers fissurés. Note de contenu : - MATERIELS ET METHODES : Essais de cicatrisation sur les mortiers fissurés - Essais de croissance de la souche bactérienne étudiée
- RESULTATS : Essais de cicatrisation sur les mortiers fissurés - Essais de croissance bactérienneDOI : http://dx.doi.org/10.1051/mattech/2014008 En ligne : http://www.mattech-journal.org/articles/mattech/pdf/2014/01/mt130071.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://e-campus.itech.fr/pmb/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=21355
in MATERIAUX & TECHNIQUES > Vol. 102, N° 1 (2014) . - 11 p.[article]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 16249 - Périodique Bibliothèque principale Documentaires Disponible