| Résumé : |
Le métier de tanneur est sans doute un des plus vieux métiers du monde. Nos aïeux se contentaient probablement d'éliminer les chairs adhérant encore à la peau, puis de mettre celle-ci en contact, en milieu aqueux, avec des matières tannantes végétales. Ensuite, de quoi, ils assouplissaient le cuir obtenu après séchage, pour le rendre utilisable.
Déjà , ils faisaient subir à la peau deux sortes de traitements :
- les uns physiques : écharnage, palissonage,
- les autres chimiques : tannage.
Puis, la civilisation apportant de nouveaux besoins, ces besoins, de nouvelles exigences, la mode aidant, il fallu recourir à une troisième catégorie de traitements : le finissage.
Ces trois sortes d'opérations ont évidemment subi une évolution importante depuis leurs origines respectives.
L'écharnage ne se fait plus à l'aide d'un silex taillé ni d'un os poli ni même d'une faux ou d'un tranchant. On utilise une machine à écharner.
Cependant, notre propos n'est pas de retracer l'historique de cette évolution, quelque passionnante qu'elle puisse être, mais de dégager les tendances actuelles du matériel utilisé pour les traitements chimiques, physiques et pour le finissage. |
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Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la rechercheConsidérations sur les travaux mécaniques du cuir "du brut au tannage" in REVUE TECHNIQUE DES INDUSTRIES DU CUIR, Vol. LXVI (Année 1974)
